Lasaison 1 de La Planète des Singes est composée de 14 épisodes. La saison 1 a commencé en septembre 1974 et s'est terminé en décembre 1974. Elle aura été diffusée pendant 3 mois à la
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Zira Cornelius et un troisième chimpanzé décident de quitter la Planète des Singes, devenue dangereuse. Ils font un bond de deux mille ans en arrière, en empruntant le vaisseau spatial abandonné par les
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LeSecret de la planète des singes realisé par Ted Post avec James Franciscus en Blu Ray AlloCiné Ex. : Black Panther 2 , James Bond 25 , Ava , The Batman
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Cornélius Roddy McDowall VF Serge Lhorca.Zira Kim Hunter VF Arlette Thomas.Lewis Dixon Bradford Dillman VF Jacques Thébault.Otto Hasslein Eric Braeden VF Gabriel Cattand.Stephanie Stevie » Branton Natalie Trundy VF Nicole Favart.Président des États-Unis William Windom VF Jean Topart.Armando Ricardo Montalbán VF Claude Joseph.Milo Sal Mineo VF Jean-Louis Maury.Président du comité John Randolph VF Jean Martinelli. En savoir plus. Les évadés de la planète des singes est la suite de La planète des singes et de Le secret de la planète des singes. Natalie Trundy, qui incarne Stevie, était déjà présente dans le second film en incarnant une des humaines mutantes. Le tournage s’est déroulé de novembre 1970 à janvier 1971 en Californie. Notre critique de Les évades de la planète des singes. Faire un troisième film était-il nécessaire après le navet précédent ? Surtout après l’explosion de la planète ? Cette fois-ci, l’histoire va se focaliser sur Zira et Cornelius. Par chance, ils ont eu le temps de s’évader et on va alors aller en sens inverse. En effet, le couple se retrouve sur Terre à notre époque à savoir les années 1970. La rencontre entre des terriens et une civilisation extraterrestre, vers quoi allons-nous ? Déjà, pas dans une guerre ouverte, bien au contraire, ils sont accueillis en fanfare et tout ce qui va bien. On part alors pendant la première moitié du film dans une pure comédie, un sketch à rallonge au point d’en rire par moment. On est à mille lieux du premier film. Après avoir eu de la pure science-fiction avant de passer au nanar, on a maintenant un film comique. Zira et Cornelius font du shopping, regardent la télévision, vivent dans un hôtel… et répondent à une commission d’enquête pour déterminer ce qu’il s’est passé pour que les singes dominent les humains. Vient alors la scène qui est la plus intéressante de Les évadés de la planète des singes et qui va enfin répondre à nos questions. Cornelius explique l’historique de la planète des singes et comment le basculement s’est déroulé. L’explication tient la route et est plaisante. Il faut souligner ce détail. La seconde moitié du film devient une évasion étant donné que Zira est enceinte que des détracteurs se font entendre sur le fait que les singes pourraient se révolter contre les humains. On rentre plus dans le sérieux » et offre plus d’actions tout en restant quand même dans une ambiance légère. Quant à sa conclusion, on se dit que la boucle est finalement bouclée et le voyage dans le temps trouve enfin son sens. Classique mais efficace. Zira et Cornelius sont égaux à eux-même. Elle d’humeur taquine et lui plus sage. On ressent dans ce film énormément l’amour qu’ils ont l’un pour l’autre, prêt à se sacrifier pour se protéger ainsi que protéger leur enfant à naître. Ils se rendent compte qu’ils ne sont pas si différents des humains à être inquiets, avilissants, utilisant l’expérimentation médicale… Sans être une remise en cause profonde, ils comprennent les humains pour être pareil dans leur futur. Le duo d’acteurs s’en sort à merveille et on arrive vraiment à s’attacher à eux. Du côté des nouveaux, Lewis et Stevie jouent les deux humains qui vont les aider à traverser toutes ces épreuves et à les protéger. Sans être très développés surtout Stevie qui est très en retrait, ils arrivent à apporter quelque chose de positif au film. L’antagoniste du long-métrage n’est pas le président qui est au contraire ouvert à la cohabitation ni les militaires qui sont au final très peu présents mais plutôt un scientifique. Hasslein incarne d’abord l’homme de sciences curieux avant de devenir de plus en plus méfiant au point d’en être belliqueux et des envies d’extermination pour la survie de l’humanité. Le parfait méchant mais avec des motivations justifiables. La mise en scène n’est pas brillante mais s’en sort déjà mieux que dans le second film de la franchise. On reste dans du très classique. Le maquillage se contentant cette fois-ci d’être que sur deux personnages. Les décors sont forcément normaux » étant donné que ça se passe dans une ville américaine. Le bémol vient de la bande originale qui ne fait qu’appuyer l’aspect comique avec des mélodies dignes des comédies des années 1960 en étant dans le burlesque. Les évadés de la planète des singes laisse un sentiment partagé. On est évidemment dans une qualité supérieure au film précédent mais le côté comique trop prononcé déstabilise alors qu’on repart dans du plus sérieux par la suite.
Titre Original Escape From the Planet of the Apes De Don Taylor Avec Roddy McDowall, Kim Hunter, Bradford Dillman, Natalie Trundy Année 1971 Pays Etats-Unis Genre Science-Fiction Résumé Cornélius et Zira parviennent à retourner vers le passé et débarquent au XXème siècle à Los Angeles. Ils y subissent les mêmes tourments que Taylor sur la planète des singes » et découvrent petit à petit quels évènements conduiront à la fin de la civilisation humaine et à la domination simienne… Avis Durant les années 70, les studios de la Fox étaient en grand déficit. Après des échecs commerciaux et des choix plus que douteux dans certains de leurs films, les studios ne savaient plus comment renouer le succès. Fort heureusement, en 1968, Le Planète des Singes, adapté d’un roman de Pierre Boulle, va faire un carton et sortir la Fox d’une merde noire pas possible. Mais les aléas des sorties font que rapidement, le studio se retrouve le bec dans l’eau et semble avoir du mal à maintenir la tête hors de l’eau. Une idée de suite à La Planète des Singes fait alors surface et on va avoir droit au Secret de la Planète des Singes. Une suite qui ne tiendra pas la comparaison et qui sera même un semi-échec d’un point de vue critique. Cependant, et c’est là que c’est surprenant, le film va cartonner au box-office, permettant aux studios de se maintenir à flots. Seulement, une fois que la machine fut lancée, il fallait bien sortir d’autres suites et d’autres films avec pour simples mots La Planète des Singes ». C’est ainsi que sorti Les Evadés de la Planète des Singes, une suite pour le moins surprenante puisque le deuxième ne laissait aucun doute possible sur l’impossibilité de faire une suite. Et pourtant… Se focalisant un peu plus sur les écrits de Pierre Boulle, cette suite va prendre tout le monde à revers puisqu’elle montre Zira et Cornélius à bord d’un vaisseau spatial et atterrir dans un passé, celui de la Terre en 1970. Les deux singes se retrouvent alors sur leur planète mais en pleine domination humaine. Très rapidement, les présentations sont faites et les singes vont attirer les regards, les questionnements, les convoitises mais aussi les peurs. En effet, malgré une grande intelligence, les deux singes vont se faire prendre à partie par une partie du gouvernement qui les voit comme une menace à l’espèce humaine. Interrogés, intimidés, questionnés, drogués, les deux singes vont avoir la vie dure sur Terre, se prenant en pleine poire ce qu’eux faisaient aux humains durant leur époque. Un retour de bâton qui fait mal et qui montre à quel point certaines expériences sur des animaux ou des humains peuvent faire mal. Le scénario de ce film est très intelligent car il est un peu l’inverse du tout premier métrage. Alors que dans le film de Schaffner, les humains étaient plus ou moins des cobayes, ici, ce sont les singes qui sont étudiés et qui vont souffrir. Cet effet miroir va permettre de faire prendre conscience aux singes de leurs atrocités, mais aussi aux humains, qui vivent dans une peur constante de l’inconnu. Et c’est là toute la force du film qui tient sur ce propos, une double vision en fonction du camp majoritaire. Les Evadés de la Planète des Singes va alors aborder des thématiques très importantes, encore aujourd’hui, avec des notions sur le regard des autres, la médiatisation, mais aussi le racisme et la différence. Le film joue constamment sur ces sujets en filigrane, sans jamais les imposer à l’écran, laissant le spectateur se faire une idée, un point de vue sur ce qu’il voit et ne voit pas forcément. C’est très malin et surtout, ça joue sur des codes encore contemporains. Le principal reproche que l’on faisait au précédent film, c’est qu’il restait des avancées technologiques propres aux années 70 et qu’aujourd’hui, cela parait désuet et donc hautement improbable. Ici, avec ce troisième film, c’est assez intemporel et peut s’inscrire sur différentes décennies. Aujourd’hui encore, près de cinquante plus tard, le film fonctionne encore sur ses codes et sur ce qu’il veut démontrer. L’homme est dangereux, comme le sera le singe plus tard, causant finalement la destruction de la planète. Ce qui participe aussi au relatif succès de cette deuxième suite, c’est le tom employé. Alors que les deux précédents métrages étaient très sérieux et ne comportaient aucun second degré, avec ce film, Don Taylor s’évertue à jouer avec les codes de la comédie et impose une première moitié de film assez étrange et fascinante. Les singes sont exploités pour l’image du pays, ils s’habillent comme des humains des années 70 et cela prête à sourire. Il y a une tonalité propre à la comédie qui sied parfaitement à ce que l’on veut voir. Le ton est moins grave, moins urgentiste, et c’est à la fois surprenant mais très bien vu. Le film comporte alors deux phases, puisque la seconde moitié sera très dramatique, mettant en avant un être abject qui va user de ses ressources pour causer du mal à ces singes qui n’ont fait que fuir une fatalité. A ce moment-là, le film bascule dans un vrai thriller noir, avec une sorte de chasse aux sorcières, toujours d’actualité aujourd’hui, où il faut trouver un coupable pour l’ignominie des humains. Le film est pertinent, prenant aussi dans sa mise en scène sur la dernière séquence dans un bateau abandonné et globalement, on se surprend à avoir de l’empathie pour ces singes si expressifs. Roddy mcDowall et Kim Hunter font un travail de dingue et sont vraiment attachants. Ce qui est appréciable aussi dans ce film, c’est les nuances apportées. En effet, tous les humains ne sont pas des crevures, certains sont bons, ce qui est la même chose chez les singes. Un discours qui n’est pas que sombre donc, et là aussi, c’est très bien foutu. Au final, Les Evadés de la Planète des Singes est un bien meilleur film que le précédent. S’amusant avec les codes, démarrant presque comme une comédie de science-fiction, offrant aux singes ce que l’humanité a presque de pire comme l’alcool, les fêtes pleines de vacuité ou encore l’exploitation de ce qui fonctionne, le film va peu à peu s’assombrir pour devenir un vrai thriller teinté de drame dans un final qui fait mal au cœur. On se retrouve alors bien malin face à cette tragédie qui se déroule sous nos yeux et qui ne signifie qu’une seule chose, l’homme est un loup pour l’homme. Note 15/20 Par AqME
Les évadés de la planète des singes Science-fiction 1971 1 h 38 min iTunes Disponible sur iTunes, Disney+ Cornélius et Zira parviennent à retourner vers le passé, et débarquent au 20e siècle à Los Angeles. Ils y subissent les mêmes tourments que Taylor sur la planète des singes, et découvrent petit à petit quels événements conduiront à la fin de la civilisation humaine et à la domination simienne. Science-fiction 1971 1 h 38 min iTunes Tout public En vedette Roddy McDowall, Kim Hunter, Bradford Dillman Réalisation Don Taylor Bandes-annonces Similaires Distribution et équipe technique Lots À propos Les évadés de la planète des singes SCIENCE-FICTION Cornélius et Zira parviennent à retourner vers le passé, et débarquent au 20e siècle à Los Angeles. Ils y subissent les mêmes tourments que Taylor sur la planète des singes, et découvrent petit à petit quels événements conduiront à la fin de la civilisation humaine et à la domination simienne. Moyenne Avis 30 Frais 23 Pourri 7 Informations Studio 20th Century Fox Genre Science-fiction Sortie 1971 Durée 1 h 38 min Classé Tout public Région d’origine États-Unis © 1971 Twentieth Century Fox Film Corporation and Apjac Productions, Inc. Renewed 1999 by Twentieth Century Fox Film Corporation. Langues Audio original Anglais Audio Anglais États-Unis Dolby AAC, Français France Dolby AAC Sous-titres Français France
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