Capd’Agde : Le French Fab Tour cible les jeunes talents 1 . Bourse Actualité Actions
Grâceà notre savoir faire, nous sommes en mesure de détecter et géo-localiser le passage de tous les réseaux sur votre terrain, de retrouver les regards enterrés, de repérer les fuites de canalisations ou piscines, de localiser les points de blocages ou encore d’intervenir dans tous les travaux associés à vos réseaux, et bien d’autres .
Depuisdécembre 2021, Etats Sauvages a pu consolider ses engagements en faveur de la préservation de la biodiversité et a également développé ses activités de sensibilisation et de vulgarisation des connaissances scientifiques. En 2022, Etats Sauvages a créé davantage de réserve forestière en France en faisant l’acquisition d’un nouveau terrain de plus de 4 hectares.
Au moins un regard placé en limite intérieure de votre propriété • Sur la voie publique à votre charge (si nécessaire) Il faut effectuer les travaux d’enfouissement des tubes entre le regard en sortie de votre terrain et le point de raccordement au réseau Orange** au droit de votre terrain. Les spécifications techniques à
Bonsoir! La gaine TPC rouge servant à faire passer le câble électrique d'EDF doit. faire un angle à 90° sur mon terrain avant d'atteindre le tableau électrique. de ma maison. Je dois donc installer un regard au niveau de cet angle afin. qu'EDF puisse tirer facilement le câble électrique. Je dois également faire.
Selonl’article R 442-2 du Code de l’urbanisme : “Lorsqu’une construction est édifiée sur une partie d’une unité foncière qui a fait l’objet d’une division, la demande de permis de construire tient lieu de déclaration préalable de lotissement dès lors que la demande indique que le terrain est issu d’une division.”.
Exemplepour un problème de facturation (forfait plus cher que prévu) Objet : Demande de remboursement. LRAR. Madame, Monsieur, Le [date], j'avais opté pour un forfait mobile Bouygues Sensation à 25 euros par mois pendant un an, puis à 40 euros à partir du 13e mois. Or, comme vous le constaterez sur la première facture que j'ai reçue
Deschiffres jamais vus, que confirment les observations de terrain. Sophie Lambert, militante du Snes-FSU (second degré) dans l’Essonne, raconte que, lors des permanences téléphoniques qu
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Conception et développement Altagile SAS au capital de 252 000 € 5 rue de la Grande Fin 21 121 FONTAINE LES DIJON RCS 810145847 RDC Dijon Hébergeur SAS au capital de 10 069 020 € RCS Lille Métropole 424 761 419 00045 Code APE 2620Z N° TVA FR 22 424 761 419 Siège social 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France. Les renseignements personnels que nous collectons sont conservés dans un environnement sécurisé. Les personnes travaillant pour nous sont tenues de respecter la confidentialité de vos informations. Pour assurer la sécurité de vos renseignements personnels, nous avons recours aux mesures suivantes Gestion des accès - personne autorisée Logiciel de surveillance du réseau Sauvegarde informatique Pare-feu Firewalls Politique de confidentialité des données à caractère personnel CandidaturesFREE attache une grande importance à la protection et à la confidentialité de la vie privée et plus particulièrement des données à caractère personnel ci-après Données personnelles ». FREE s’attache ainsi à mettre en place les moyens techniques et organisationnels nécessaires pour protéger vos Données ce cadre, la présente Politique de confidentialité Candidatures vous permettra de comprendre, de façon concise et compréhensible, quelles Données personnelles vous concernant nous collectons et ce que nous en faisons, ainsi que la façon dont vous pouvez gérer vos Données personnelles dans le cadre de votre QUEL TYPE DE DONNEES PERSONNELLES FREE COLLECTE VOUS CONCERNANT ?Dans le cadre de votre candidature et pendant le processus de recrutement, FREE collecte et traite principalement, de façon loyale et transparente, les catégories de Données personnelles suivantes vous concernant i. 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DE QUELLE FAÇON FREE UTILISE VOS DONNEES PERSONNELLES ?Dans le cadre de son traitement de gestion du personnel, qu’il soit mis en œuvre à partir d’outils internes ou externalisés auprès de prestataires, FREE utilise vos Données personnelles pour les finalités spécifiques et déterminées que sont le recrutement et le traitement de votre traitement est fondé sur l’intérêt légitime de FREE de mettre en place des recrutements de collaborateurs ainsi que sur votre consentement, que vous pouvez retirer à tout moment. 3. COMBIEN DE TEMPS FREE CONSERVE VOS DONNEES PERSONNELLES ?Vos Données personnelles sont conservées pendant le temps nécessaire au traitement de votre candidature et jusqu’à deux ans après si vous ne vous êtes pas opposé à sa conservation. FREE peut également conserver vos Données personnelles pendant une durée légale plus longue uniquement quand elle utilise vos Données personnelles afin de respecter ses obligations légales et/ou pour répondre aux demandes des autorités publiques et gouvernementales. 4. COMMENT POUVEZ-VOUS GERER LA COLLECTE ET L’UTILISATION QUI SONT FAITES DE VOS DONNEES PERSONNELLES ?Vous pouvez à tout moment accéder à vos Données personnelles, les rectifier, demander leur suppression, demander leur limitation, ou encore exercer votre droit à la portabilité de vos Données personnelles, en adressant un courrier et en justifiant de votre identité à FREE– Informatique et Libertés – 75371 Paris Cedex 08. Les Données personnelles dont FREE a besoin pour la finalité pour laquelle elles ont été collectées, nécessaires à la constatation, à l’exercice ou à la défense de droits en justice pourront cependant ne pas être disposez également du droit de vous opposer à tout moment, pour des raisons tenant à votre situation particulière, à un traitement de vos Données personnelles, dont la base juridique est l’intérêt légitime poursuivi par vous adressant au Délégué à la Protection des Données personnelles, vous pouvez également définir des directives relatives au sort de vos Données personnelles après votre décès. En cas de réclamation à laquelle FREE ne vous aurait pas donné de réponse satisfaisante, vous pouvez vous adresser à la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés CNIL en charge du respect des obligations en matière de Données DE QUELLE FAÇON FREE ASSURE LA SECURITE DE VOS DONNEES PERSONNELLES ?FREE met en œuvre des mesures techniques et organisationnelles appropriées ainsi que des actions nécessaires afin de protéger vos Données personnelles. Vos Données personnelles sont traitées de façon électronique et/ou manuelle et en tout état de cause, de façon à ce que leur sécurité, protection et confidentialité soient assurées au regard de leur niveau de sensibilité, via des mesures administratives, techniques et physiques pour prévenir la perte, la destruction, le vol, l’utilisation, la divulgation ou encore la modification non-autorisées qui pourraient porter atteinte à leur confidentialité ou à leur intégrité. FREE s’assure que les outils qui permettent le traitement de vos Données personnelles assurent un niveau de protection optimal de vos Données personnelles. 6. QUI PEUT AVOIR ACCES A VOS DONNEES PERSONNELLES ?Vos Données personnelles sont traitées par le service des ressources humaines et le manager de la société auprès de laquelle vous avez candidaté, la société Iliad et éventuellement à des partenaires et/ou cabinets de recrutement qui fournissent des services ou une assistance et des conseils à FREE. FREE sélectionne rigoureusement les personnes qui pourront être amenées à accéder à vos Données personnelles et FREE applique des politiques d’habilitation strictes qui permettent que vos Données personnelles traitées ne soient transmises qu’aux seules personnes habilitées au titre de leur mission qui sont autorisées à y avoir accès. Lorsqu’elle a recours à un prestataire, FREE ne lui communique vos Données personnelles qu’après avoir obtenu de ce dernier un engagement et des garanties suffisantes sur sa capacité à répondre aux exigences légales et règlementaires de sécurité et de ne transfère pas vos Données personnelles en-dehors de l’Union européenne. Si FREE devait avoir besoin de transférer vos Données personnelles à des destinataires se trouvant dans un pays qui n’a pas été reconnu comme assurant un niveau de protection adéquat, FREE leur imposera de se conformer à des exigences de sécurité et de confidentialité de vos Données personnelles et à ne les traiter qu’aux fins qu’elle a déterminées. De tels destinataires auront préalablement signé les Clauses contractuelles types de la Commission Européenne. Sur demande, elles peuvent également être transférées aux personnes et autorités dont le droit d'accès aux données à caractère personnel est reconnu par la loi, les règlements ou les dispositions émanant d'autorités habilitées par la EVOLUTION DE LA POLITIQUE DE CONFIDENTIALITELa présente Politique de confidentialité peut être amenée à évoluer, notamment en raison des évolutions législatives et réglementaires et afin de refléter les évolutions de nos pratiques et de nos technologies. Conditions d’utilisationLes présentes conditions d’utilisation ci-après les Conditions » ont pour objet de définir les conditions d’utilisation du site ou de l’un quelconque de ses sous-domaines, de ses portails thématiques ou sites affiliés l’ensemble étant collectivement désigné ci-après par Site ».Ce Site est mis gratuitement à votre disposition hors frais de connexion au Site, sous réserve du respect des Conditions définies vous accédez au Site, vous vous engagez à respecter les présentes Conditions et à l’ensemble des lois et règlements vous engagez à accéder aux informations figurant sur ce Site uniquement pour un usage personnel et non ne pouvez utiliser le Site que dans un but légitime ; aucune utilisation, ou détournement n’est autorisé, notamment pour des finalités contraires à l’ordre public et aux bonnes du SiteEn utilisant le Site, vous reconnaissez Être responsable des données qu’il diffuse, utilise et/ou connaissance que toute violation des dispositions législatives en vigueur et ou toute atteinte aux intérêts légitimes de tiers, ou à leurs droits de propriété intellectuelle, est susceptible d’entraîner des poursuites judiciaires et sanctions à son FREE n’est pas responsable de l’usage des données, du contenu diffusé ou des services d’une autre personne et qui, notamment, ne respecterait pas la législation en FREE ne saurait en aucun cas assumer une quelconque responsabilité en ce qui concerne les relations susceptibles d’être nouées entre les internautes et les tiers, partenaires ou non de FREE, du fait ou à l’occasion de l’utilisation du Site, et/ou en ce qui concerne les services fournis par ces tiers et les conséquences qui pourraient résulter de leur du fait de la nature du réseau Internet, les données circulant sur ce réseau ne sont pas protégées contre toute forme d’intrusion y compris par voie de piratage. 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APRNEWS - Hormis quelques romanciers comme le Sud-Africain John Maxwell Coetzee ou les Nigérians Chinua Achebe et Wole Soyinka, il est l’intellectuel africain le plus traduit au monde. Chaque ouvrage qu’il publie est traduit dans une quinzaine de langues, dont le catalan, le néerlandais, le serbe, le danois, le suédois, l’arabe et le japonais. Pourtant, le rayonnement international de son travail est mal connu sur le continent et beaucoup n’hésitent pas à lui tirer dessus à boulets rouges. Comme après son dernier séjour au Cameroun, en compagnie du président français, Emmanuel Macron. Jeune Afrique Êtes-vous frustré par les critiques incessantes auxquelles vos engagements publics vous exposent ? Achille Mbembe Il y a deux catégories de réponses à mes prises de position théoriques et publiques. D’une part, il y a des attaques, parfois ad hominem, des tentatives d’intimidation ou de chantage, voire, dernièrement, des menaces plus ou moins voilées. Elles viennent souvent d’individus paumés, qui ont raté leur vie et qui, pour expliquer leurs misères, convoquent toutes sortes de boucs émissaires. D’autre part, il y a des critiques d’autant plus bruyantes qu’elles sont oiseuses et sans objet. À l’origine de ce vacarme se trouvent souvent des gens qui ne cherchent pas à réfléchir aux vrais enjeux, qui ne les comprennent pas ou si peu, ou qui s’ennuient. Alors qu’ils pourraient consacrer leur énergie à construire des idées, des projets, que sais-je, ils préfèrent tout démolir. C’est tellement plus facile ! Colonisant les réseaux sociaux à longueur de journée, ils jouent le rôle de petits ayatollahs et insultent ciel et terre. Que répondez-vous à ceux qui disent s’appuyer sur vos travaux académiques pour critiquer vos engagements politiques ? Sur le plan proprement académique, je suis davantage lu, étudié et commenté aux États-Unis, en Europe, dans des pays tels que l’Inde, le Mexique, le Brésil, la Turquie, etc., qu’en Afrique. Très peu d’Africains connaissent véritablement mes travaux. Pour quelles raisons ? La plupart n’y ont tout simplement pas accès. D’autres ne lisent point ou lisent mal. D’autres encore ne sont guère au courant des thèmes sur lesquels portent mes écrits ou n’ont pas l’humilité d’apprendre. Ce qui est certain, c’est qu’ici, le débat est faussé. Ailleurs, on m’invite pour réfléchir, pour écouter et dialoguer, pour débattre. Ici, nous ne sommes pas sur le terrain des idées. Au lieu de produire leur pensée propre, les plus sectaires d’entre eux prétendent me contredire à coups de caricatures. Il suffit que je renifle et ils toussent. Nous sommes donc très loin de l’échange posé et constructif qui fait avancer les idées et permet une compréhension plus subtile des défis auxquels fait face le continent. Qu’est-ce qui, selon vous, explique ces attaques ad hominem, dont la plupart viennent d’intellectuels comme vous ? Il y a probablement une part d’envie et de jalousie. Mais pourquoi ceux qui m’insultent ne publient-ils pas, dans la durée, des livres sérieux et des articles dans les revues académiques internationales ? Pourquoi ne produisent-ils pas des idées originales, des concepts et des analyses susceptibles de retenir l’attention de leurs pairs, de critiques reconnus, voire de décideurs ? Eh bien, parce que c’est difficile. Tout cela est le résultat d’années de travail acharné, d’études et d’abnégation. L’engagement au service de la pensée est en effet semblable à un sacerdoce et, il faut, pour réussir, prendre des risques, sortir de la répétition, éprouver le besoin de faire partie de quelque chose d’utile. Au lieu d’emprunter des chemins aussi escarpés, beaucoup préfèrent se défouler sur les réseaux sociaux. Que voulez-vous que j’y fasse ? Il y a néanmoins des critiques d’ordre politique ou idéologique qui vous sont adressées. Pourquoi n’y répondez-vous jamais ? Je n’ai pas de temps à perdre. Que dites-vous à ceux qui affirment que vous avez changé votre fusil d’épaule ? Auraient-ils attentivement suivi mon travail, ils auraient bien vu comment, au cours de toutes ces années, la question de savoir ce qui vaut la peine d’être construit et comment a toujours été au centre de ma réflexion. Ils auraient pris bonne note de ma critique constante du sectarisme, de l’identitarisme et de toute forme de racialisme ou de nativisme. Ils auraient bien vu comment cette réflexion tourne de plus en plus autour de la thématique du vivant, de l’en-commun, de la démocratie à venir, de la réparation. C’est parce que, en vérité, je n’ai jamais été partisan de la révolte pour la révolte, en circuit clos. Mes prises de position politique ont toujours été la conséquence de ma réflexion théorique. La question générale de la nature de notre société et des moyens de la transformer me préoccupe toujours. Pendant longtemps, je l’ai abordée du point de vue de la critique théorique. Il ne s’agit pas de déserter complètement le champ de la théorie. Mais, cela est vrai, je suis à un moment de mon propre parcours où, face aux enjeux du siècle, il me semble absolument nécessaire d’élargir nos modes de pensée et de présence, d’habiter l’imagination autrement si on veut inventer de nouveaux liens avec l’ensemble du vivant. Avez-vous toujours été un rebelle ? Certains vous disent simplement arrogant… Mon seul et unique rêve dans la vie aura été d’être, du début jusqu’à la fin, un esprit libre. Je n’ai jamais accepté d’avoir un directeur de conscience, quelqu’un qui me dicte ce que je dois penser, avec quel accent je dois parler, qui je dois fréquenter, quelle opinion je dois entretenir, comment je dois me conduire. Je ne crois en aucun catéchisme. Je n’appartiens à aucun parti politique ni à aucune secte. Je ne suis même pas membre du syndicat des enseignants de mon université. Je ne suis le fidèle d’aucune Église. Je n’ai pas de pasteur et ne possède pas de biens je n’ai ni maison ni voiture, aucune cravate. Je déteste l’argent et n’en use point qui n’ait été gagné à la sueur de mon front. Si faire l’expérience de cette sorte de frugalité et de joie ascétique, c’est être rebelle, alors j’aurai aspiré toute ma vie à en devenir un, et je ne suis pas loin du but. Dans quelle mesure ces traits de caractère ont-ils influencé votre parcours intellectuel et politique ? Je me suis laissé porter par de réelles interrogations, les rencontres qu’il m’a été donné de vivre, une authentique curiosité, les situations humaines qui m’ont interpellé. Par exemple, sous l’influence de ma grand-mère, j’ai consacré beaucoup de temps à réfléchir à la question de la résistance et de la lutte, ou encore à celle des mémoires de la défaite. Mes premiers travaux portaient sur les pratiques d’indocilité et d’indiscipline. J’ai été profondément influencé par les traditions prophétiques du christianisme, la théologie de la libération, les pensées juives du messianisme. Cela a aussi été le cas de l’expérience historique africaine-américaine, de l’expérience sud-africaine, toutes deux malheureusement peu connues ou étudiées en Afrique francophone. L’AFRIQUE EST À LA FOIS UNE RÉSERVE DE PUISSANCE ET UNE PUISSANCE EN RÉSERVE Comme vous le constatez, les courants de pensée qui m’ont le plus influencé reposaient, les uns et les autres, sur un surplus de souffle, sur quelque assise spirituelle, sur le projet d’appartenance non à un village restreint et fermé, mais à une communauté véritablement planétaire. Je ne me suis jamais contenté du politique pour le politique. Le politique ne se suffit pas à lui-même. Sans ce souffle et ce supplément de sens, il se ramène à une vulgaire affaire de pouvoir pour le pouvoir, sans but ni finalité autre que le pouvoir. Cette dimension spirituelle explique-t-elle votre réticence à recourir à la violence ou à embrasser certaines formes de radicalisme ? Elle explique pourquoi tout ce cheminement m’aura conduit, en fin de compte, aux questions du vivant et de l’en-commun, interrogations décisives de notre temps s’il en était. Elle explique aussi pourquoi, face au sectarisme et à l’esprit villageois de l’époque, j’évoque sans cesse l’afropolitanisme en tant que modalité d’ouverture sur le monde, de déclosion du monde, ou en tant que figure singulière de la nécessaire conscience planétaire que requièrent les temps que nous vivons. Je sais que la violence des dominants est la mère de toutes les autres violences. Je sais aussi qu’à certains moments de l’Histoire, il n’y a pas d’autre choix que de résister. Si les conditions l’exigent, je préfère mourir debout plutôt qu’aplati, le visage affalé sur la face ventrale de l’existence. Mais il ne s’agit pas de faire des choix dans l’abstrait. Il s’agit de les vivre au quotidien, dans des luttes réelles et situées, en faisant chaque fois le pari de l’intelligence et de l’espérance au détriment de la haine, de la bêtise et du sectarisme. Je déteste le sectarisme, qui se nourrit de bêtise et qui nourrit la haine. Le panafricanisme a-t-il une place dans votre cheminement intellectuel et politique ? Les motifs chrétiens de la crucifixion et de la résurrection m’auront marqué plus que tout, peut-être parce qu’en eux se jouent, de façon très directe, la part tragique et la part d’allégresse de toute existence. Leur impact sur mon interprétation de l’anticolonialisme et ma philosophie de la libération est incontestable. Le panafricanisme a toujours été pour moi une question ouverte. Il ne saurait être un dogme. On ne crée strictement rien en passant ses journée à psalmodier Kwame Nkrumah, Patrice Lumumba, Cheikh Anta Diop, Frantz Fanon et tous les autres. Pour répondre aux défis de notre temps, nous sommes obligés de penser à la fois avec eux et contre eux. Pour moi, l’Afrique est à la fois une réserve de puissance et une puissance en réserve. Je milite pour qu’un jour, elle redevienne son centre propre, sa force propre, un vaste espace de circulation par-delà les frontières héritées de la colonisation, un acteur géopolitique à part entière. Et c’est en mobilisant les ressources de l’intelligence collective, et non dans la bêtise du sectarisme et de la haine, que nous y arriverons. Quelle est la nature exacte de votre rapport avec votre pays, le Cameroun ? Très jeune, j’ai eu des problèmes avec mon pays natal. J’avais 14 ans quand Ernest Ouandie a été exécuté. J’avais suivi son procès et celui de Mgr Albert Ndongmo quand j’étais à l’internat, dans le secondaire. Cet épisode m’a beaucoup marqué. Ma grand-mère m’avait beaucoup parlé de la lutte pour l’indépendance, à laquelle elle avait pris part, et dans laquelle son fils unique, compagnon de route de Ruben Um Nyobe, est tombé. Il s’appelait Pierre Yem Mback. Pendant une dizaine d’années, j’ai été ostracisé pour avoir publié les écrits de Ruben Um Nyobe que je cherchais à sauver de l’oubli. C’était à une époque où il était interdit de prononcer son nom en public, le sien tout comme ceux des autres martyrs de l’époque. Mon regard sur notre histoire et sur ce dont nous sommes capables est donc tout sauf naïf. Il suffit, à cette époque, de lire proprement mes travaux. Cette part de lucidité, j’y tiens. Pour le reste, mon plus grand souhait est que s’ouvre bientôt pour le Cameroun un grand moment de réconciliation générale. Venons-en à vos rapports avec la France. Comment les caractériseriez-vous ? Nous avons une histoire commune. Elle est ineffaçable. Mais avoir un passé ensemble ne signifie pas automatiquement avoir un futur en commun. Il y a des mémoires stériles, qui ouvrent sur des chemins qui ne mènent nulle part. Le risque est de rester empêtré dans ces mémoires stériles. La mienne n’a jamais été une critique nihiliste de la politique française en Afrique. J’ai toujours vécu dans l’espérance qu’un horizon constructif puisse exister. Encore faut-il être capable d’en déchiffrer les signes. Cela exige de rester en permanence en éveil. Le futur, il faut l’inventer. Pour ce faire, il nous faut sortir d’un rapport infantile et parfois hystérique avec la France. Est-ce ce qui explique votre rapprochement avec Emmanuel Macron ? La Françafrique n’a aucun avenir même si sa lente agonie peut se poursuivre encore pendant un bon moment. Si beaucoup commencent à le comprendre, très peu, côté français comme côté africain, ont une idée nette de ce par quoi il faut la remplacer. Le plus grave serait qu’elle survive davantage dans l’esprit de ceux qui prétendent la combattre que dans celui de ceux qui voudraient la pérenniser. Sur un plan historique, il existe donc une fenêtre de tir. C’est mon pari, et je peux évidemment me tromper. Il faut s’en saisir et essayer de l’élargir, car elle ne restera pas ouverte pendant longtemps. C’est ce à quoi l’on s’efforce de contribuer, comment y contribuent au demeurant quantité d’individus, mouvements et petits collectifs en Afrique et en France. On vous a reproché d’avoir accepté d’accompagner Emmanuel Macron au Cameroun, lors de sa dernière tournée africaine. Pourquoi l’avez-vous fait ? Je ne vois pas de quoi ils se mêlent. À LIRECameroun – France tout se joue aujourd’hui, par Achille Mbembe L’intellectuel que vous êtes ne se lie-t-il pas les mains en acceptant ce type d’invitation ? Emmanuel Macron n’a jamais proposé de me lier les mains. En vérité, ce qui l’intéresse, ce qui l’a toujours intéressé, c’est qu’elles soient le plus libres possible. Je parle des mains, mais il s’agit en réalité du cerveau. Si connivence il y a – et elle enrage beaucoup d’ignorants –, c’est précisément sur cette base. Il est en effet possible d’entretenir avec le pouvoir, tout pouvoir, un rapport de totale liberté. Les faibles d’esprit n’étant pas habitués à ce type de relation, je comprends qu’ils laissent fleurir maints fantasmes à mon sujet et au sujet de mon rapport à Emmanuel Macron. Que répondez-vous à ceux qui préconisent une rupture nette avec la France ? Je l’ai dit à plusieurs reprises, il n’y a strictement rien que la France puisse donner à l’Afrique que l’Afrique ne puisse s’offrir à elle-même. Il n’y a pas meilleur pari historique et déclaration plus radicale de liberté. Encore faut-il en mesurer les conséquences et être prêt à les assumer. Je crois, avec plusieurs autres, qu’il faut sortir d’un face-à-face stérile avec la France, dans la perspective de réinvention d’un monde en commun. Parce que nous n’avons pas le choix. Les grands défis sont communs, l’avenir ne pourra être que commun. Je suis, comme vous l’imaginez, de celles et ceux qui plaident pour un engagement critique avec le reste du monde, avec la France, mais aussi avec les États-Unis, la Chine, la Russie, l’Inde, l’Allemagne et les autres puissances du monde. De toute façon, ce ne sont pas des choses qui se décrètent. Une rupture ne s’improvise pas. Elle se construit, loin des incantations. À peu près un an après le Sommet de Montpellier, où en est-on ? Petit à petit, un autre écosystème doit se mettre en place avec de nouveaux acteurs, de nouveaux outils intelligents, et d’abord en Afrique même, où nous disposons d’un remarquable réservoir de jeunes. La Fondation de l’innovation pour la démocratie sera lancée en octobre prochain et commencera ses activités dès 2023. Elle se construira avec celles et ceux qui sont d’ores et déjà engagés dans l’animation de l’intelligence collective et la mobilisation citoyenne. Elle leur donnera de la résonance et des possibilités de développement. Elle proposera des lieux physiques et digitaux de débat, d’échange, de construction de connaissances et de sens, des parcours pédagogiques cibles, de la mise en réseau de collectifs, de l’accompagnement de projets innovants. Elle sera à la fois dans l’écoute, dans la collaboration et dans la transmission. Elle investira dans des technologies intelligentes… Bref, des formes inédites d’accès aux savoirs, de prise de conscience et de mobilisation seront co-construites pas à pas, avec toutes celles et tous ceux qui sont soucieux de réarmer la pensée sur la démocratie et de mobiliser les bonnes volontés. L’idée est de relancer l’agenda démocratique sur le continent. Que devient la Maison des mondes africains ? La Maison des mondes africains verra le jour bien avant la fin du deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron. Luc Briard, Liz Gomis et bien d’autres y travaillent avec intelligence et acharnement. Notre vœu est que la Ville de Paris, Anne Hidalgo en premier, s’y implique avec tout l’entrain que suscite ce projet aussi bien en France qu’à travers le reste du monde. D’autres initiatives sont en cours, dans l’esprit du Sommet de Montpellier. Tel est le cas du Campus nomade et du Collegium Afrique-Europe que pilote l’historienne Leyla Dakhli. D’autres groupes de travail vont progressivement être mis en place, notamment sur les musées de demain et autres tiers lieux, ou sur le développement des industries culturelles en Afrique. Le même élan est en cours dans les grandes institutions de recherche telles que le CNRS ou l’IRD. L’AFD n’est pas en reste, puisqu’elle est à la pointe de ce renouveau en gestation. En réalité, c’est un vaste mouvement intellectuel et générationnel qu’il faut enclencher. Pour cela, il y a besoin d’un véritable réarmement du point de vue des idées et des concepts. Le Sommet de Montpellier a ouvert la voie à un dialogue substantiel avec la société civile qui repose sur cette nouvelle forme d’intelligence. Nous transformerons la relation en mettant cette façon de penser au service de co-actions inédites par le biais d’outils intelligents. Du reste, au cours des trois années qui viennent, neuf forums régionaux auront lieu, à commencer par celui de Johannesburg, en octobre. C’est ainsi que l’on construira, méthodiquement, la rupture. Et qu’en est-il des autres facteurs tels que les interventions militaires ou le franc CFA ? L’on n’échappera pas à une remise à plat de toutes ces questions. Il y a une forte demande, notamment de la part des nouvelles générations, de reprendre en main le destin des nations africaines et, sur cette base, de participer librement à l’édification de la communauté terrestre. Une simple révolte sans idées ni moyens serait cependant la pire manière de s’y prendre. Si rupture avec les modèles passés il doit y avoir, il faut, ensemble, tracer l’horizon et construire le chemin de façon méthodique. Après ce qui s’est passé au Mali, il est temps, par exemple, de changer radicalement la posture stratégique française en Afrique. Il ne faut pas seulement sortir du paradigme des expéditions militaires à répétition. Il faut élargir notre conception de la sécurité humaine sur le continent et poser, sans masque, la question de la présence et de l’utilité des bases militaires françaises dans un contexte de relance de la compétition entre les puissances. Certains analystes prétendent qu’une des raisons de la perte d’influence française en Afrique est la conditionnalité démocratique. C’est faux. L’on ne mettra pas fin à la fragilité politique des États africains par davantage de militarisme ou en fermant les yeux sur les dévastations qui résultent de la tyrannie. Plus la France renforcera sa posture militariste en liant son sort à celui de pouvoirs corrompus, vieillissants et prédateurs, plus elle mettra en danger ses propres intérêts. L’aggiornamento sera intégral ou ne sera pas. Que pensez-vous de l’engagement d’Emmanuel Macron de mettre en place une commission d’historiens pour revisiter les années de guerre 1960 et 1971 au Cameroun ? Cet engagement s’inscrit dans la continuité du travail fait autour des restitutions, de l’Algérie et du Rwanda. À mes yeux, les trois rapports produits à ces occasions par Felwine Sarr et Bénédicte Savoy, Benjamin Stora, Vincent Duclert et son équipe constituent de précieux documents. C’est aux sociétés civiles française et africaines de s’en saisir afin de tracer de nouveaux chemins d’avenir. Mais nous avons autant besoin de la pression des sociétés civiles que d’alliés à l’intérieur de la technostructure qui sachent traduire en politiques publiques effectives ce qui, autrement, demeurerait un simple vœu pieux. Dans le cas du Cameroun, l’espoir est que le devoir de vérité sera enfin honoré et que, sur cette base, il sera possible de remettre la mémoire au service d’un futur partagé. On connait votre relation avec Emmanuel Macron. Entretenez-vous des liens avec des chefs d’État africains ? Il m’est arrivé de discuter avec certains d’entre eux, et ils ne sont pas nombreux. Mais j’entretiens aussi des conversations avec d’autres figures publiques ou privées, des diplomates, des footballeurs professionnels, des artistes, des musiciens et, de temps à autre, des hommes extrêmement aisés et cultivés, qui ont lu ce que j’ai écrit et qui désirent en savoir davantage. Je siège dans les conseils d’administration d’un certain nombre de fondations, en Afrique du Sud et à l’étranger. Je participe donc constamment à des flux d’idées qui se renouvellent sans cesse et m’obligent à rester en permanence en éveil. Trouvez-vous encore le temps d’écrire ? Deux ouvrages paraîtront début 2023. Le premier, Les Liens à venir, sortira chez Actes Sud, et le deuxième, La Communauté terrestre, aux éditions La Découverte. Source Jeune Afrique
Le travail du technicien Le travail du technicien qui vient vous raccorder à la fibre n’est pas simple. Il n’a pas des heures à consacrer à la détection de votre regard FT. S’il rencontre des difficultés, il y a fort à parier qu’il va laisser tomber. Son temps est compté. Pour lui faciliter la tâche ou pour avoir votre raccordement à coup sûr, nos équipes peuvent vous aider. La fibre utilise le réseau souterrain. Il va falloir faire passer le câble dans les fourreaux existants. A l’aide d’une aiguille détectable nous allons pouvoir vérifier que le tuyau n’est pas encombré et localiser le regard s’il existe. Les problèmes rencontrés fréquemment Regard de branchement FT non accessible ou enterré Une gaine bouchée Les techniques utilisées Aiguille détectable avec sonde émettrice Injection d’un signal à l’aide d’une pince à champs électromagnétique sur le câble conducteur La solution AFC Détection Réseaux Vous aider à retrouver le câble pour vous raccorder à la fibre et détecter le regard FT Notre matériel pour détecter le regard France télécom Aiguille détectable Cette solution permet de localiser la sonde placée à l’extrémité de l’aiguille. Grâce à l’émission d’un signal électromagnétique, nous pouvons retrouver l’emplacement et la profondeur de la sonde que nous avons fixée. Détecteur VIVAX Cette machine nous permet de localiser la sonde enterré dans le sol de manière instantanée et très précise Générateur VIVAX Le rôle de cet appareil est de propager un signal dans l’aiguille détectable pour ensuite la retrouver grâce à la sonde. Vidéo comment trouver un point de blocage dans un fourreau France Télécom ?
pas de regard télécom sur mon terrain